Eh oui, à quelques jours de la Semaine du Goût, il me parait nécessaire de se pencher sur les préoccupations de gastronomes dont on parle beaucoup en ce moment: les végans. Je vous livre une série de questions fondamentales pour lesquelles je n’ai, malheureusement, pas de réponse!
Un végan peut-il accepter de manger un animal si celui-ci est mort de vieillesse?
Quels sont les arguments utilisés par un végan pour convaincre ses enfants de ne pas aller manger de hamburgers chez Mac Do ?
Quelle est l’espérance de vie d’un être humain élevé dans le véganisme et ses carences nutritives?
Vu la progression des végans arrivera-t-on à fournir, sans pénurie, la vitamine B12 ?
Quand verra-t-on le fameux titre de « Meilleur Ouvrier de France » décerné à un spécialiste du quinoa?
Quand aura lieu la première attaque d’une boucherie halal par des végans radicaux?
Les végans SM ont-ils autant de satisfactions sexuelles avec des combinaisons en Skaï et des fouets synthétiques qu’avec un attirail en cuir?
Quel est le pourcentage de végans vivant depuis toujours à la campagne?
Les végans, conscients des dangers pour la planète, utilisent-ils moins l’avion que les autres?
Nick Conrad a-t-il été inspiré par des végans pour écrire sa chanson « Pendez les blancs » ?
Y a-t-il des animaux plus proches mentalement des végans que d’autres et avec lesquels la communication est plus facile, comme les huîtres ou les bulots par exemple ?
Si le véganisme est héréditaire comment les prochaines générations vont revisiter des recettes traditionnelles, coq au vin ou omelette au jambon par exemple ?
A part ça Qi Shi Tsu a gardé l’envie d’avoir du goût, bon ou mauvais, ça dépend des jours et de le partager avec les lecteurs. Pour ça, deux livres sont toujours disponibles, « Les pensées de Qi Shi Tsu » et « Les réponses de Qi Shi Tsu », et pour les obtenir, il suffit d’aller faire un tour sur la page Facebook de Qi Shi Tsu.
Par Thierry Rocher
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